« Vraiment wow la conférence des grandes questions existentielles! Les élèves et moi-même avons apprécié cette rencontre qui nous plonge dans un univers de réflexions. »
Annie Richer, Polyvalente Robert-Ouimet
J’ai commencé à réfléchir vers l’âge de 15 ans. Mon premiers sujet de réflexion : la mort. Depuis, ça n’a jamais arrêté. Mes multiples voyages en Amériques Latines, Europe et Moyen-Orient m’ont permis de prendre le temps de vivre et de réfléchir la vie.
Au cours de cette conférence, nous ferons donc le tour de grandes questions comme :
- Pourquoi vouloir vaincre la mort ?
- Qu’est-ce qui donne du sens à la vie et la vie a-t-elle un sens ?
- De quoi sommes-nous libres ?
- Etc.
Des sujets traités avec simplicité et profondeur, tout en remettant en question certains dogmes reçus.
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« Vos vidéoconférences ont suscité plusieurs discussions très intéressantes autant pour les élèves que pour moi. Elles contribuent certainement à enrichir les cours ! » Caroline Côté, enseignante à Baie Comeau
Détails techniques et extrait vidéo
Besoins techniques : projecteur Power Point, hauts-parleurs
Durée : 60 à 90 minutes
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J’ai entendu monsieur Perras à la Victoire de l’amour et j’aimerais savoir si l’on peut de procurer son livre sur les grandes questions existentielles et si oui, à que endroit et à quel prix. Un conférencier hors de l’ordinaire , félicitations pour ce grand homme ‘.
Ghislaine Denis
gdenis@tlb.sympatico.ca
Bonjour, il est possible de se procurer le livre L’essentielle errance car j’en ai encore quelques copies. Je peux vous en poster une si vous voulez l’acheter.
Bonjour, j’ai lu sur votre page une inscription me laissant dans un état de questionnement. Que pensent vos enfants du fait que la mort de l’un d’eux vous porte à le remercier pour cela…
j’attend votre réponse avec impatience
Bonjour Éliade, la mort de notre fille n’ayant jamais été cachée à nos enfants, ils sont parfaitement au courant de toutes les montagnes russes qui ont suivis : détresse, grisaille, lourdeur, désarroi, angoisses, etc. Ils comprennent que ce « Merci d’être morte » n’est pas un manque d’amour. Ils savent, puisque je leur ai dit, que je ne souhaite en aucun cas voir un autre de mes enfants mourir avant moi. Et ils m’entendent régulièrement leur dire : « Merci d’être là! »
Mais ils comprennent aussi qu’il puisse y avoir éventuellement un aspect de libération, même dans le plus grand des deuils. Et ce ne sont pas les seuls. Je fais des conférences philo dans les écoles et quand je demande aux étudiants de 12 à 16 ans : « Est-ce qu’on peut être libérer de quelque chose qu’on aime? », il n’est pas rare que j’entende : « Quand mes parents s’en vont pour le weekend. » Évidemment, les parents ne sont pas morts! Mais les enfants comprennent déjà que la libération n’empêche pas l’amour.
Suite à ma propre mort, j’espère que mes enfants en arriveront à pouvoir me dire : « Merci d’être mort! » Le deuil d’un père est un des deuils très important de notre vie, et lorsqu’il est bien vécu, on en ressort plus fort, mieux enraciné et réalisant pleinement l’héritage de son passage dans notre vie. Mais pour cela, il faut bien qu’il meure!